Archives des états-unis - aria mondu http://www.ariamondu.com/tag/etats-unis-2/ Récits et photos de voyages Mon, 11 Nov 2013 09:32:08 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.1.7 43955667 Le souvenir de Pearl Harbor http://www.ariamondu.com/visite-a-pearl-harbor-hawaii-uss-arizona-memorial/ http://www.ariamondu.com/visite-a-pearl-harbor-hawaii-uss-arizona-memorial/#comments Tue, 05 Feb 2013 07:36:14 +0000 http://www.ariamondu.com/?p=519 Lieu de production d’huitres perlières durant le 19ème siècle, Pearl Harbor tient sa triste célébrité d’un évènement du siècle d’après. Le 7 décembre 1941, l’armée japonaise attaque la base navale américaine. Cette attaque marque l’entrée en guerre des États-Unis. Aujourd’hui, la base est toujours là et les lieux de l’attaque se visitent. l est vrai...

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Lieu de production d’huitres perlières durant le 19ème siècle, Pearl Harbor tient sa triste célébrité d’un évènement du siècle d’après. Le 7 décembre 1941, l’armée japonaise attaque la base navale américaine. Cette attaque marque l’entrée en guerre des États-Unis. Aujourd’hui, la base est toujours là et les lieux de l’attaque se visitent.

Il est vrai que visiter un mémorial sonne un peu glauque, pourtant Pearl Harbor laisse plus à penser à une attraction qu’à un lieu de commémoration. En témoigne le nombre de touristes japonais qui affluent ici. À se demander s’ils réalisent que ce sont leurs pères et grand-pères qui sont à l’origine de cela.
De mon côté, je préfère prendre cette visite comme une leçon d’histoire. Peut être que c’est ainsi que les visiteurs nippons voient la chose : comme une évocation du passé et des erreurs commises, comme un rappel que les États-Unis, faut pas les faire chier…

Ancre USS Arizona Pearl Harbor USS Bowfin USS Arizona Memorial USS Arizona USS Arizona Memorial USS Arizona USS Arizona Memorial

La visite du mémorial de l’USS Arizona, sépulture pour près de la moitié des marins morts lors de l’attaque, ne se paie pas. On ne paie pas pour « visiter » un mémorial. Il faudra allez retirer votre ticket à l’un des guichets d’accueil, l’heure de votre passage est inscrite dessus. Pensez donc à retirer votre ticket dès votre arrivée, visitez ensuite les alentours (USS Bowfin Museum, expositions, etc…) en attendant votre pour bateau pour le mémorial.

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Go back to Mexico ! http://www.ariamondu.com/comment-je-suis-rester-bloquer-a-la-frontiere-americaine/ http://www.ariamondu.com/comment-je-suis-rester-bloquer-a-la-frontiere-americaine/#comments Mon, 30 Jul 2012 10:04:11 +0000 http://www.ariamondu.com/?p=152 Les agents des douanes américains ne sont pas réputés pour leur sympathie, leur tolérance ou bien leur compréhension. J’en ai fait les frais, en décembre 2009, avec 2 de mes amis, un lendemain de soirée du côté de Tijuana au Mexique… cette époque, j’étais de retour au États-Unis depuis environ 3 semaines. Voilà qui était...

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Les agents des douanes américains ne sont pas réputés pour leur sympathie, leur tolérance ou bien leur compréhension. J’en ai fait les frais, en décembre 2009, avec 2 de mes amis, un lendemain de soirée du côté de Tijuana au Mexique…

À cette époque, j’étais de retour au États-Unis depuis environ 3 semaines. Voilà qui était bien plus qu’assez pour reprendre mes marques dans la ville de San Diego, et rencontrer des personnes d’autres coins du monde au sein de l’International Academy of English.

Parmi celles-ci, un kazakh et un allemand. L’un n’avait jamais quitté sa glorieuse nation Kazakhstan jusque là (notez la référence), l’autre avait déjà un passeport bien rempli. C’est avec ces 2 personnages atypiques que je me suis rendu à Tijuana un bel après-midi d’hiver.

Ce qui n’aurait dût être que quelques heures au Mexique, s’est un peu allongé. L’alcool et la douane en ayant décidé autrement

L’un n’avait jamais quitté sa glorieuse nation Kazakhstan jusque là, l’autre avait déjà un passeport bien rempli.

L’entrée dans le pays n’est qu’une formalité. On y entre comme dans une boulangerie. Ou tout autre type de commerce, je ne voudrais pas offenser les boulangers. Nous nous rendons en taxi au centre ville. Rues sales, boutiques miteuses, petits restos crasseux et sombres boutiques attrape touristes le compose. Après avoir marché quelques minutes et s’être accoutumé à ce nouveau monde, nous nous trouvons un restaurant pas trop mal.

Mexique oblige notre repas est accompagné de Corona, Tequilla et chansons locales. Après avoir demandé ce que nous proposais la ville comme activités, notre serveur nous propose sans détour le Donkey Show. Je vous laisse le soin de vous renseigner. Nous prévoyons autre chose.

Le repas se termine avec l’après-midi. Préférant ne pas se présenter de suite à la frontière, et faisant fi de nos normes d’hygiène standards, nous prenons une chambre dans un petit hôtel. Un choix qui finalement s’est avéré très judicieux. Même si ce cher Carlos, un mexicain sorti d’on ne sait où, à essayé de nous scrucé toute la soirée, en se portant volontaire pour nous trouver tout ce qu’on voulait.

Un charmant douanier, à l’allure fortement mexicaine,  nous lance alors « Go back to Mexico !« 

La nuit est passée, on a réussi à se débarrasser de Carlos et lui piquer son chapeau, il est temps de rentrer. Nous suivons les panneaux USA et tombons sur l’interminable file de gens candidats à l’immigration. Il fait déjà chaud et il ne nous reste que de quoi prendre le trolley pour retourner à San Diego. Nous attendons patiemment.

Quelques longues minutes plus tard, nous arrivons enfin à un guichet. C’est alors qu’un charmant douanier, à l’allure fortement mexicaine,  nous lance alors « Go back to Mexico ! » (Retournez au Mexique). Sans plus de précisions nous rebroussons chemin vers le bureau de l’immigration. Le problème se fait alors connaitre. Nous avons des visas étudiant, donc nous avons, en toute logique, un formulaire I-20. Hé bien c’est ce formulaire qu’ils veulent, sans lui notre visa ne vaut rien ! Bien évidemment nous n’avons pas amené ce bout de papier avec nous. Après négociations, nous nous résignons, aucune aide ne nous sera apportée.

La chance était malgré tout de notre côté. Il nous restaient nos téléphones portables. Azamat et moi même avions des collocs à même de récupérer les précieux sésames et de nous les amener. San Diego est à une trentaine de kilomètres, ouf ! Hendrik, qui n’a pas de visa étudiant, devra quant à lui taper dans les quelques dollars qu’il nous reste pour renouveler son visa touriste.

C’est donc après plusieurs heures d’attente que nous repassons du bon côté de la frontière, avec un seul et unique dollar en poche.

Originellement publié sur mon blog Californie sous l’intitulé « 24 heures au Mexique« 

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Les couleurs du Wild West Américain http://www.ariamondu.com/les-couleurs-du-wild-west-americain/ http://www.ariamondu.com/les-couleurs-du-wild-west-americain/#comments Sat, 29 Oct 2011 11:00:46 +0000 http://www.ariamondu.com/?p=63 Ici le le Wild West Américain se résume principalement à la Californie et l’Arizona, l’extrême Wild West en somme. Je n’ai pas encore eu l’opportunité d’aller plus loin, mais cela donne déjà un bel aperçu de la diversité des paysages que l’on peut rencontrer, de la côte Pacifique aux déserts en passant par les forêts...

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Ici le le Wild West Américain se résume principalement à la Californie et l’Arizona, l’extrême Wild West en somme. Je n’ai pas encore eu l’opportunité d’aller plus loin, mais cela donne déjà un bel aperçu de la diversité des paysages que l’on peut rencontrer, de la côte Pacifique aux déserts en passant par les forêts ou les villes, bien évidemment.

Pour beaucoup, l’ouest Américain se résume aux grandes villes telles que Los Angeles, Las Vegas, San Francisco, ou encore Phoenix. Ce serait dommage de faire un si loin voyage et de se cantonner à la visite des ces métropoles. Prenez vous pour Lucky Luke, partez au volant de votre Mustang (il s’adapte à son temps le cow-boy solitaire) et découvrez la beauté sauvage du Far West, loins des strass d’Hollywood et des lumières de Las Vegas.

Il est vrai que la West Coast (côte ouest des États-Unis) est inévitablement associé au fameux Golden Gate Bridge, aux trottoirs étoilés d’Hollywood boulevard ou bien au maillot rouge, près du corps, de Pamela Anderson dans « Alerte à Malibu« . Se limiter à cette vision, pour le moins étroite, de l’ouest américain serait se priver de nombreuses choses. D’autant plus que le grand ouest américain regroupe la grande majorité des parcs nationaux du pays.

L’ouest des États-Unis, c’est l’opportunité de passé de la plage à la montagne, en passant par le désert, en l’espace d’une journée. Notez que cette opportunité est quand même plus simple à saisir pour l’habitant de SoCal (South California, la région sud de la Californie) que pour le rednecks de l’Arizona.

Si on devais décomposer cette richesse de paysages en plusieurs couleurs, cela ressemblerait sûrement à quelque chose du genre :

Le bleu

L’océan évidemment. De Santa Barbara aux nombreusses plages de L.A. et San Diego, ou bien le littoral de Big Sur, où la Pacific Coast Highway offre ses plus beaux points de vue. C’est par pour rien que les sauveteuses de Baywatch (Alerte à Malibu) étalaient leurs formes sur les plages de L.A. ! Mais, entre nous, nos rivages méditerranéens n’ont rien à envier aux côtes californiennes.

Le vert

Dans une région où les territoires arides sont nombreux, les forêts et espaces verts ne sont pas en reste. De là à dire qu’il y en a autant que les déserts, quand même pas. Toutefois les parcs nationaux de Yosemite et Sequoia ont de quoi satisfaire le visiteur avide de verdure. Je n’ai pas eu la chance d’aller serrer la pince au General Sherman (l’arbre le plus imposant du monde) dans le Parc National de Sequoia. Par contre j’ai bel et bien déambuler dans Yosemite, vu d’innombrables chutes d’eau, d’immenses séquoias, et même croisé un ours dans la vallée !

L’orange

En fait toute la gamme de couleurs allant du jaune au rouge. Un éventail de couleur dites « chaudes », pour les non moins chauds déserts et canyons ! De la Vallée de la Mort au Grand Canyon, via le désert d’Anza Borrego. Parmi les immanquables (que j’ai manqué…) on peut citer la fameuse Monument Valley (Utah) et Antelope Canyon (Arizona-Utah), 2 chef-d’œuvres du Wild West, proches l’un de l’autre en plus.

Le blanc

Hé oui, blanc comme neige ! On en trouve aussi dans cette région majoritairement désertique. En attestent la Sierra Nevada et le Mont Withney, point culminant des 48 états contigus. D’ailleurs, en période hivernale, la neige s’invite aussi dans des endroits où on l’attends moins, comme le Grand Canyon ou la Monument Valley.
On pourrait aussi associer le blanc à la Vallée de la Mort, où le bassin de Badwater (à -85.5 mètres, point le plus bas du continent nord Américain) est recouvert de sel.

Le spectre colorimétrique au complet

Les villes, tout à fait ! Pas de bourgades de l’arrière-pays dans cette catégorie, et j’ai de quoi justifier. Kingman, ville de l’Arizona, plus de 20 000 habitants, sur la Route 66, proche de Las Vegas. Jusque là on se dit que tout semble réunis pour avoir une ville assez vivante. Je vous met alors au défi de trouver un restaurant ouvert, ou même juste un endroit suffisamment éclairé, après 20h…
Ici j’évoque bien les villes que vous connaissez tous : San Francisco, Las Vegas et compagnie. Que ce soit Sin City et son fameux Strip, lourdement éclairé par les néons des hôtels et casinos qui abondent. Ou bien la jolie skyline de San Diego depuis l’île de Coronado. Ou encore l’inévitable Golden Gate Bridge de San Francisco, qui porte bien son nom une fois la nuit venue. Toutes ces villes se parent de milles feux et couleurs dès le crépuscule.

Il va de soi que tous ces lieux ne se découvrent, et s’apprécient, pas en seulement 2 semaines de vacances en été. J’ai passé 1 an en Californie et n’est pas eu la chance (et l’argent) de tout voir, mais le Wild West mérite qu’on s’y attarde, et qu’on y retourne.

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